Livre à couverture rigide de 192 pages en couleurs.
Le livre de base de Brancalonia s’ouvre sur les pages de titre, crédits et ours, et d’index (3 pages pour le tout). Elle sont suivies de Fratelli di Taglia, la Taglia è Modesta (Pizzas, Dagues et Mandolines, 1 page) qui présente l'esprit de Brancalonia.
Canaglie di Brancalonia (Les Canailles Brancaloniennes, 36 pages) présente tout d’abord Un Monde de Canaille (2 pages). Puis viennent les descriptions des Espèces de Brancalonia (8 pages) et des Classes de Brancalonia (14 pages), à savoir les classes disponibles dans le SRD de D&D5, leur proposant pour chacune une nouvelle sous-classe propre au contexte. Viennent ensuite de Nouveaux Traits de Personnalité et Historiques (7 pages), suivis des Dons Brancaloniens (4 pages).
Botte da Orbi e Bisacce Sfondate (Bagarres Générales et Fontes Vides, 20 pages) apporte l’ensemble des règles spécifiques à Brancalonia. Les 4 première pages sont consacrées aux règles de Brancalonia, la limitation du niveau, de l’équipement, le repos et la relâche, et la gestion de la compagnie et du repaire des Canailles. Puis, 3 pages couvrent les Méfaits, Primes et Notoriété de départ des Canailles et le jet à lancer pour les Risques du Métier. Ces derniers sont d’ailleurs couverts par les 2 pages suivantes. Suit La Rixe (6 pages) qui définit le cadre et les règles de ces combats non létaux à grands coups de gnons, ainsi que les prises, aptitudes de classe, coups fourrés et dégâts collatéraux qu’elles impliquent. Quatre jeux de tripots sont ensuite décrits sur 2 pages avec leurs règles. Enfin, les 2 dernières pages définissent les règles de Faire la Bringue et ses d20 conséquences possibles.
Denaro ed Equipaggiamento (L’Argent et l’Équipement, 10 pages) aborde tout d’abord en 1 page le taux de change et les dénominations des pièces de cuivre, d’argent, de fer et d’or. Puis le reste du chapitre est consacré à l’équipement, principalement de mauvaise qualité, ou au mieux contrefaits voire factice. Outre les effets de ces équipements (bien moins chers, mais moins fiables et pouvant entraîner un malus de d’interaction sociale), le chapitre passe ainsi en revue quelques équipement spécifiques, décoctions et autres camelotes magiques.
La Condotta (Maîtriser Brancalonia, 16 pages) offre des conseils pour la maîtrise de ce cadre de jeu. Il s’ouvre sur Fantasy Spaghetti (4 pages) qui revient sur les éléments importants de l’ambiance de Brancalonia, guide le choix de la région de départ, insiste sur le rythme Corvée – Repos des séquences de jeu, définit le type de Canailles à jouer et passe sur la session zéro. Puis Les Canailles et la Justice du Royaume (4 pages) complètent les règles de Méfaits et de Risques du Métiers en couvrant les lois qui différencient une Canaille d’un Infâme, l’évolution de la prime sur la tête des personnages, la gestion des chasseurs de prime et de la Chasse Royale, et les règles tacites de la garde en matière d’application (ou non) de la loi. Suivent des conseils pour créer des aventures, un générateur de tripots, et un autre de rencontres aléatoires sur des chemins qui ne mènent nulle part. Le chapitre se termine sur 1 page consacrées aux prophéties, cette forme particulière de défi à l’étiquette particulière qui contourne l’interdiction des paris.
Il Regno (Le Royaume d’État-lie, 44 pages) couvre l’histoire et la géographie de royaume. Il s’ouvre sur une Brève histoire du Royaume (2 pages) allant des premiers âges de la péninsule à l’État-lie actuel en passant par la gloire et la chute de l’empire draconien et de sa capitale Plutonie, et la guerre de mille ans qui s’en est suivie. Une Carte du royaume sur une double page précède une description de chaque région sur 2 ou 4 pages chacune.
In Cerca di Quattrini (En Quête de Quatrains, 32 pages) offre six corvées :
E ora ? (Et Maintenant ? 1 page) aborde la suite des aventures des Canailles, et rappelle que des aventures officielles sont aussi disponibles et que d’autres doivent encore arriver, dont la campagne Épées, Coupes, Bâtons et Deniers.
Mostri e Aversari (Nouveaux Monstres et Adversaires, 27 pages) propose un bestiaire d’une douzaine de créatures brancaloniennes. On y trouve ainsi : l’anguana, sorte de sirène serpentiforme des marais ; le bavilic, un chien à l’haleine pétrifiante ; la befana, légendaire, équivalent local des guenaudes ; le bigat, un dragon aptère des fleuves et terres sauvages ; les captifs, légendaires, des spectres hantant les lieux de leur mort ; le fouineau, petit oiseau suceur de sang ; le malaconda, puissant diable missionné par le Lucifuge ou les archidiables ; le Margutte, cruel ogre gigantesque ; la nuée d’épeireviers, croisement entre un corbeau et une araignée ; le serfélin, serpent à deux pattes ; la slimace, sangsue de la taille d’un cheval vivant dans les marais ; et la viloupère, loup bicéphale venimeux. Suivent une douzaine de profils de PNJ, allant des animaux qui parlent aux païens, en passant par la Garde royale, les coupe-jarrets ou les paysans.
L’ouvrage se termine sur un Index (1 page) et, pour la version française une page de publicité pour la quadrilogie de Dragon, suivie de l’OGL.
Le sommaire de la version anglaise :
Cette fiche a été rédigée le 20 octobre 2022. Dernière mise à jour le 6 janvier 2023.
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